Sunday, January 10, 2010

Projection à Ouarzazate du documentaire "Tindouf: récit de martyrisés"

Ouarzazate-10/01/10- Le documentaire "Tindouf: récit de martyrisés", réalisé par Rabii Al Jawhari, a été projeté samedi soir en séance publique au Palais des Congrès de Ouarzazate.

Suivie par une pléiade d'acteurs locaux de la scène culturelle et associative, des militants des droits de l'Homme, des étudiants et un public nombreux, la projection du documentaire, qui a eu lieu en présence du réalisateur, a été initiée par l'Association "Watanouna" (Notre patrie).

De par la projection de ce film dans les établissements scolaires à travers toutes les régions du Royaume, l'Association tend à dévoiler les sévices infligés aux séquestrés des camps de Tindouf par les mercenaires du "polisario".

Le documentaire, étayé de témoignages émouvants sur la tragédie endurée par des citoyens marocains séquestrés, relate l'expérience épouvantable subie par Abdallah Lamani qui a passé 23 ans dans l'enfer des camps de séquestration, ainsi que celle de ses compagnons, dont le patriotisme n'a jamais été ébranlé d'un iota par les souffrances.

Ce documentaire a été réalisé avec la participation de plusieurs jeunes professionnels du 7è art qui ont déployé tout leur savoir-faire et compétences au service de leur pays pour produire un film-témoignage dévoilant au grand jour la supercherie du "polisario".

Le débat qui a suivi la projection, en présence de la grande actrice Naîma Lamcharki, présidente du collectif "Watanouna" et le "héros" du documentaire, Abdallah Lamani, a mis en valeur la nécessité de mettre à profit ce genre d'oeuvres pour mobiliser et aiguiser le sens du patriotisme chez les générations montantes et démasquer, à l'échelle internationale, les subterfuges des séparatistes.

Cette projection a été organisée en partenariat avec la préfecture et le Conseil municipal de Ouarzazate et les Associations "Film Commission" et "Ouarzazate action".

Saturday, November 7, 2009

RASD: Régie Algérienne du Sous-Développment


Le taux de chômage des jeunes dans un pays pétrolier comme l'Algérie a atteint les 25%. Le FMI vient de recommander à l'Algérie de diversifier son économie afin de ne plus dépendre des seules ressources tirées des hydrocarbures et de développer le secteur privé en tant que relais de la dépense publique. Ce qu'on peut oublier et que l'Algérie investit dans un autre secteur industriel: l'intelligence et le lobbying pour créer un mini-Etat dont le président serait, un marocain dont les parents et ancêtres sont historiquement des marocains et vivent actuellement au maroc, nommé Mohamed Abdelaziz Al Marrakechi qu'il rêve porter le nom: RASD. En croyant nuire au Maroc le régime Algérien a causé beaucoup de problèmes à la population algérienne en détournant l'argent du contribuable algérien, des revenus du pétrole et des gaz algérien vers cette régie RASD (Régie Algérienne du Sous-Développement) dont le directeur est le marocain Mohamed Abdelaziz El marrakechi.     

34éme anniversaire de la marche verte

Texte intégral du Discours Royal à l'occasion de la marche verte:

"Louange à Dieu. Prière et salut sur le Prophète.
Sa famille et Ses compagnons.

Cher peuple.

Nous commémorons aujourd'hui le 34ème anniversaire de la glorieuse Marche Verte, plus fidèles que jamais au serment y afférent, de demeurer solidement attachés à l'intégrité territoriale du Royaume, à ses constantes sacrées et à sa souveraineté pleine et entière. C'est un attachement scellé par une parfaite symbiose entre le Trône et le peuple, et une unanimité nationale sans faille.

Nous célébrons cette épopée historique en nous inspirant davantage encore de l'esprit créateur qui y avait présidé, et en y puisant les ressorts nécessaires pour faire pièce aux complots ourdis contre la marocanité de notre Sahara. Nous nous y employons avec la sagesse, la constance, la fermeté et l'audace qu'exige la situation, prenant les initiatives constructives qui nous paraissent nécessaires pour assurer à nos provinces du Sud le développement, le progrès et l'unité que Nous souhaitons pour elles. Pour y parvenir, notre atout majeur est la solidité du front intérieur ainsi que notre détermination à aller de l'avant, animés d'une volonté nationale souveraine, dans le renforcement de la démocratie et du développement.

Aussi, avons-Nous décidé d'imprimer une nouvelle dynamique à l'esprit de la Marche verte, afin de relever les défis actuels et à venir concernant notre cause nationale, en procédant, à cet effet, à la mise en Âœuvre d'un plan intégré, axé autour de cinq orientations majeures :.

1- Faire bénéficier les provinces sahariennes de la primauté dans le processus de régionalisation avancée escomptée, de façon à conforter leur capacité à gérer leurs propres affaires locales.

2- Veiller à ce que le gouvernement fasse de ces provinces un modèle de déconcentration et de bonne gouvernance locale, en mettant à leur disposition les meilleurs cadres et en leur conférant de larges compétences sous la supervision, légale et ferme, des walis et des gouverneurs de Notre Majesté.

3- Engager la restructuration du Conseil Royal Consultatif des Affaires Sahariennes (CORCAS), dans la perspective de la fin de son mandat. Il s'agira de revoir sa composition et de renforcer sa représentativité en assurant son ouverture sur de nouvelles élites compétentes et patriotiques. Il faudra également opérer la mise à niveau de ses structures et de son mode de fonctionnement. Ceux-ci doivent, en effet, être mis en adéquation avec les nouveaux défis et ce, parallèlement à l'amélioration de l'efficacité de l'action du Conseil en matière de mobilisation en faveur de la défense de la marocanité du Sahara et de son développement.

4- Procéder à la révision du champ d'action de l'Agence de développement des provinces sahariennes et de sa compétence territoriale, en veillant à ce qu'elle focalise ses efforts sur les provinces sahariennes et qu'elle s'attache à mettre en Âœuvre des projets de développement humain, et des programmes locaux générateurs d'emplois pour les jeunes et de nature à renforcer la justice sociale et l'équité. Il lui appartient également d'Âœuvrer pour faciliter les conditions de retour de tous les repentis, des camps de Tindouf. Elle s'attachera, en outre, à assurer leur accueil et à favoriser leur intégration.

5- Oeuvrer pour que les instances politiques, syndicales, associatives et médiatiques ainsi que toutes les forces productives et créatrices, assument les responsabilités qui leur incombent en matière d'encadrement des citoyens, et d'ancrage des valeurs de patriotisme et de citoyenneté effective. Car en effet, la mise en Âœuvre d'une telle stratégie n'incombe pas seulement à l'Etat et ses organes, mais elle requiert aussi la mobilisation totale de tous les acteurs aux niveaux national et local.

Nous tenons, à cet égard, à renouveler à tous Nos fidèles sujets dans notre Sahara - qu'il s'agisse des Chioukhs, des notables ou des élus ou encore des membres de la société civile, l'expression de Notre hommage pour leur constante allégeance et leur solide attachement à leur marocanité.

Cher peuple.

La mise en œuvre des orientations retenues pour cette nouvelle étape, dans le domaine politique et en matière de développement, ne doit pas être cantonnée dans le seul front interne. Elle requiert des efforts conjugués qu'il appartient à la diplomatie officielle et à la diplomatie parallèle de déployer pour défendre la marocanité du Sahara et l'Initiative d'autonomie, dont la communauté internationale a d'ailleurs salué le sérieux et la crédibilité.

Il n'en demeure pas moins que les adversaires de notre intégrité territoriale se sont évertués à contrarier la dynamique de négociation que notre Initiative a enclenchée au niveau onusien. Ils sont allés dans l'escalade et l'hostilité jusqu'à fomenter un plan de conspiration, recourant, entre autres stratagèmes et modes opératoires, à l'extorsion, aux pressions, à la provocation et à la perversion de l'esprit de la légalité internationale.

Tout en réaffirmant notre attachement au processus onusien de négociation autour de notre Initiative d'autonomie, Nous considérons le moment venu d'affronter cette escalade belliqueuse avec toute la fermeté requise, en faisant montre d'un patriotisme sincère et d'une grande clarté dans nos positions, et en veillant à ce que chacun assume les responsabilités qui sont les siennes.

A cet égard, Nous réitérons Notre engagement pour que le Maroc demeure un Etat de droit et de progrès démocratique. C'est un attachement qui n'a d'égal que Notre refus de l'exploitation détestable des acquis dont jouit notre pays en matière de libertés et de droits humains, et le rejet de leur instrumentalisation par quiconque s'avise de comploter contre la souveraineté, l'unité et les constantes sacrées de notre pays.

Le temps est venu pour que toutes les autorités publiques redoublent de vigilance et de mobilisation afin de contrecarrer, avec la force de la loi, toute atteinte à la souveraineté de la nation, et de préserver, avec toute la fermeté requise, la sécurité, la stabilité et l'ordre public qui est le gage effectif de l'exercice des libertés.

En toute responsabilité, Nous affirmons qu'il n'y a plus de place pour l'ambigüité et la duplicité : ou le citoyen est marocain, ou il ne l'est pas. Fini le temps du double jeu et de la dérobade. L'heure est à la clarté et au devoir assumé. Ou on est patriote ou on est traitre. Il n'ya pas de juste milieu entre le patriotisme et la trahison. On ne peut jouir des droits de la citoyenneté, et les renier à la fois en complotant avec les ennemis de la patrie.

Quant aux adversaires de notre intégrité territoriale et ceux qui se meuvent dans leur giron, ils savent plus que d'autres que le Sahara est une cause cruciale pour le peuple marocain, uni autour de son Trône qui est le dépositaire et le garant de sa souveraineté, de son unité nationale et de son intégrité territoriale.

En faisant de cette question la clef de voûte de leur stratégie belliqueuse, ils ne font que confirmer qu'ils sont bien le véritable protagoniste dans ce conflit artificiel, faisant fi des sentiments de fraternité réciproque existant entre les peuples marocain et algérien.

Ce faisant, ils hypothèquent de surcroît l'avenir des relations bilatérales et la concrétisation de l'Union maghrébine, alors que le Maroc ne cesse d'appeler à l'intégration et à la complémentarité pour relever les défis majeurs de la région en matière de sécurité et de développement.

Tout en saluant le soutien de nos amis à notre juste cause, nous interpellons certains milieux chez eux en les interrogeant : y a-t-il un pays démocratique qui accepterait que la démocratie et les droits de l'homme servent de prétexte ou de tremplin pour qu'une bande de hors-la-loi complote, en intelligence avec les ennemis, contre son unité et ses intérêts supérieurs?.

Depuis quand l'exercice des libertés autorise-t-il que des biens publics et privés, constitués au prix de tant de sacrifices de la part des citoyens, soient vandalisés? et quel est, du reste, le tort de ces citoyens ?.

Il n'en est rien. Bien au contraire : toutes les lois nationales et les conventions internationales sont unanimes à criminaliser la violence, et considèrent que l'intelligence avec l'ennemi relève de la haute trahison.

A cet égard, Nous disons à tous que le Maroc, pays de liberté et d'ouverture, refuse de se prêter à une surenchère sur les droits de l'homme, surtout de la part de régimes ou de groupes fondés précisément sur la négation et la violation de ces droits. Mieux encore, ceux-ci s'obstinent, par la perfidie et la supercherie, à en faire un fonds de commerce, usant d'un mercantilisme de bas étage pour tirer des dividendes - à l'intérieur comme à l'extérieur - en s'attaquant aux sacralités de la nation ou en exploitant la situation inhumaine qu'endurent nos frères à Tindouf.

Cette situation, douloureuse s'il en est, place l'Algérie et les organismes internationaux, notamment le HCR, devant leurs responsabilités pour que soit assurée à nos frères une protection effective. Ceci requiert, notamment, leur recensement, le respect de leur dignité, et la faculté pour eux d'exercer leur droit naturel à la circulation et au retour librement consenti dans leur patrie, le Maroc.

Avec le même attachement à la légalité internationale, Nous assurons de nouveau l'Organisation onusienne de la pleine et constante disposition du Maroc à s'engager dans des négociations sérieuses et à faciliter la mission de l'Envoyé personnel du Secrétaire Général des Nations Unies, pour qu'il poursuive les efforts de son prédécesseur, afin de trouver une solution politique consensuelle, réaliste et définitive, sur la base de la proposition d'autonomie et dans le cadre de la souveraineté du Royaume, de son unité nationale et de son intégrité territoriale.

Cher peuple.

En ce moment privilégié de notre histoire, nous avons une pensée émue pour la mémoire immaculée du concepteur de la Marche verte, Notre Vénéré Père, Sa Majesté le Roi Hassan II - que Dieu sanctifie Son âme-, ainsi que celle des vertueux martyrs de l'intégrité du territoire de leur patrie. Notre meilleur gage de fidélité à leur mémoire éternelle, est donc de réaffirmer le serment indéfectible de ne jamais marchander ou renoncer à un grain de sable de notre Sahara, car il s'agit d'une question d'existence et non de frontières.

Nous tenons à saluer de nouveau la vigilance et la mobilisation dont les forces armées et de gendarmerie Royales, la Sûreté nationale ainsi que les Forces auxiliaires et l'Administration territoriale, font preuve pour la préservation de la sécurité et de l'intégrité territoriale de la nation.

Nous sommes convaincu que nous remporterons à terme la bataille du conflit artificiel suscité autour de notre intégrité territoriale, car nous sommes des ayant-droit, forts d'une légitimité historique et juridique, et parce que, de surcroît, tous les Marocains sont convaincus que cette cause qui est la leur, est une cause juste et sacrée.

Tu Me trouveras, cher peuple, en première ligne parmi les défenseurs et les protecteurs de la souveraineté du Royaume, de son unité nationale et de son intégrité territoriale, demeurant tous fidèles au pacte d'allégeance mutuelle, à notre engagement constitutionnel, et à l'intime conviction qui nous habite quant à l'inéluctabilité de la victoire.

+Dieu soutient, certes, celui qui Le fait prévaloir. Dieu est fort et puissant+. Véridique est la parole de Dieu.

Wassalamou alaïkoum wa rahmatoullahi wa barakatouh". source: map

Extrait:
"A cet égard, Nous disons à tous que le Maroc, pays de liberté et d'ouverture, refuse de se prêter à une surenchère sur les droits de l'homme, surtout de la part de régimes ou de groupes fondés précisément sur la négation et la violation de ces droits. Mieux encore, ceux-ci s'obstinent, par la perfidie et la supercherie, à en faire un fonds de commerce, usant d'un mercantilisme de bas étage pour tirer des dividendes - à l'intérieur comme à l'extérieur - en s'attaquant aux sacralités de la nation ou en exploitant la situation inhumaine qu'endurent nos frères à Tindouf."

Il est évident que le régime algérien exploite, sous prétexte qu'il accueille des réfugiés, des marocains dans les camps de Tindouf, pour tirer toutes les dividendes. 

Parmi ces dividendes on cite:

1- Déléguer sa guerre contre le Maroc à une bande dirigée par un marocain fantoche à savoir: Mohamed Abdelaaziz El marrakechi. Cette bande qui a commis plusieurs attaques et raids contre le territoire du sud maroc, avec des centaines de véhicules militaires achetées et financées par l'Algérie. 

Parmi ces attaques:
- Attaques contre la localité de AKKA, TATA le 25 janvier 1980.
- Attaque contre M'hamid près de Zagora: le 9 octobre 1980.
- Attaque contre la ville de TATA: le 3 septembre 1980
- Attaque contre sidi amara, au nord de Zag: le 16 avril 1981.

Cette bande à l'aide de mercenaires, payés à la tâche,  recrutés par l'Algérie de cuba et de certains pays africains avait tués plusieurs marocains dans ces localités et dans d'autres localités du Sahara Occidental Marocain, comme elle avait amené d'autres par force dans les camps de Tindouf.

2- Tirer des profits en détournant les aides humanitaires envoyés aux réfugiés du camp de Tindouf.


Il n'est plus permit à l'Algérie de continuer à nuire au maroc via cet instrument de guerre qui est le polisario. Ce Polisario crée, financé, abrité, entretenu et équipé militairement pour mener de temps en temps des raids éclaires contre le Maroc.

Il n'existe aucun pays au monde qui accepte que le pays voisin de l'est accueille des réfugiés qui mènent des attaques militaires contre son sud quelques en soient les raisons.     
 
  






Thursday, October 29, 2009

Tras el enérgico reclamo del gobierno argentino a Brasil para que libere la mercancía en tránsito demorada en la frontera


Tras el enérgico reclamo del gobierno argentino a Brasil para que libere la mercancía en tránsito demorada en la frontera, en la madrugada pasaron más de 500 camiones con frutas, verduras, aceites y cereales por el paso de Uruguayana.
Por pedido del canciller Jorge Taiana, el secretario de Relaciones Económicas Internacionales, Alfredo Chiaradia, le presentó un reclamo formal al embajador de Brasil en Buenos Aires, Mauro Vieira, durante una reunión privada.
En esta reunión le advirtió: "Es inaceptable que se detengan camiones sin aviso previo y con mercadería perecedera de distintas provincias Argentinas", que viola los acuerdos del Mercosur.
Los voceros de la embajada de Brasil afirmaron, por su parte, que "no existe un conflicto, ya que tienen más de 4.500 productos en su nomenclador arancelario".
Sin embargo, los analistas del mercado coinciden en que la medida aplicada por el presidente Luiz Inácio Lula da Silva, es una represalia de las licencias no automáticas que promovió Argentina con el argumento de proteger el empleo, la industria y la producción de los efectos de la crisis mundial.
En tanto, el ministro de Economía de Argentina, Amado Boudou, buscó bajarle el tono a la creciente disputa comercial, señalando que "se trata del socio más importante de la región y que sólo en 6% de los productos existen problemas".
Este, sin dudas, es un capítulo más de las disputas por las trabas recíprocas al comercio bilateral de los dos países más poderosos del Mercosur, que intercambian más de US$ 2.300 millones por mes entre importaciones y exportaciones.
El 18 de noviembre, los presidentes Inácio Lula Da Silva y Cristina Fernández de Kirchner se reunirán nuevamente, ya que fracasaron en su intento de que fuera el sector empresarial el que encontrara una salida a las controversias.
Ahora, serán los mandatarios los que tendrán que superar sus diferencias, en medio de una puja millonaria por productos como harinas, aceites, vinos y teléfonos celulares. voa

Tuesday, October 20, 2009

U coup dur pour le polisario et la diplomatie algérienne

L'interdiction du polisario d'assister au sommet Afrique-Amérique du sud (26-27 septembre au Venezuela), auquel le polisario a été interdit d'assister, a porté un coup dur à la diplomatie algérienne. Le futur deuxième coup serait: si un élément des mercenaires mène une attaque contre le territoire marocain, comme dans les années 80 le Maroc demanderait à l'Algérie des explications, demande que l'Algérie extrade ce mercenaire pour le juger sinon l'Algérie serait l'instigateur de cette attaque.

Saturday, October 17, 2009

Sahara, Maroc, Algérie et les mercenaires terroristes polisariens


Même si le Maroc applique le principe: "la patrie est clémente et miséricordieux", Je vois pas comment les sahraouis du sahara occidental vont accepter que le nommé Mohamed Abdelaaziz Al marrakechi et sa bande les gouvernent même si ils acceptent la proposition Marocaine: "l'autonomie dans les provinces du sud".
Je ne vois pas non plus comment les séquestrés de Tindouf vont pardonner à l'Algérie ces 30 ans d'esclavages dans une zone militaire, politique, policière, terroriste et tous ce que vous pouvez imaginez d'anti-droit humain sauf une zone de Réfugiés??!!!!
Je ne vois pas non plus suivant quel droit international on peut classer un séparatiste; qui porte une combinaison militaire d'un pays voisin ennemi, qui s'entraîne dans les casernes de ce pays ennemi froid, qui mène des attaques contre ses compatriotes par les armes et les renseignements du pays qui l'accueille?; comme un réfugié???????????????????????????????????????????!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

  
      

Monday, October 12, 2009

Le "think tank américain", Inter-University Center for Legal Studies (IUCLS) resserre l'étau sur l'Algérie



Le conflit du sahara occidentale est Algéro-Marocains. De point de vue ce conflit l'Algérie est le Polisario, le Polisario est l'Algérie. Le Polisario, un instrument de guerre Algérien, un pont de détournement des aides humanitaires vers les poches des chefs de mercenaires, de certains responsables politiques et militaires Algériens et des bandes qui blanchissent ces aides humanitaires pour acheter des armes et les mettre entre les mains des terroristes pour tuer des innocents et même ceux qui donnent ces aides humanitaires. La face cachée de l'Algérie derrière ce conflit devient de plus en plus visible. Il n'est plus permet à l'Algérie de continuer à emprisonner des Marocains sur son Territoire à Tindouf sous le prétexte que ce sont des réfugiés et en même temps former militairement,  abriter, financer et encadrer des mercenaires et résidus de la guerre froide (USA-Ex-URSS) pour mener des attaques contre son voisin le Maroc. Il n'est plus permet non plus à ces fantoches de massacrer la population Marocaine dans les camps de Tindouf et les traiter comme des esclaves ni mener des attaques de Guérillas dans le territoire Marocain. Dorénavant tout attaque depuis l'Algérie dans le territoire marocain serait considéré comme une provocation de guerre et pousserait la population marocaine des provinces du sud à réclamer des dommages et intérêts pour les massacres commis  déjà par des mercenaires Algériens au sud du Maroc dans les années 70 et 80.        




Les populations séquestrées à Tindouf ne doivent plus souffrir des manquements de l'Algérie à ses engagements (Think Tank US)

Washington-12/10/09 - Les populations séquestrées dans les camps de Tindouf ne doivent plus souffrir des manquements de l'Algérie au droit international, estime le think tank américain, Inter-University Center for Legal Studies (IUCLS), appelant le Haut Commissariat aux Réfugiés (HCR) à établir une présence significative dans les camps afin d'y assurer la protection des droits des populations, y compris la liberté de mouvement.


"En vertu de ses engagements, l'Algérie doit collaborer avec le HCR afin de lever tous les obstacles qui se dressent devant la mise en place d'une approche basée sur les droits, y compris son opposition au recensement des populations des camps (...) et son soutien militaire au polisario, qui contribue aux restrictions de la liberté de mouvement", souligne ce think tank, dans un récent rapport.
Bien que l'Algérie soit signataire des conventions internationales relatives aux droits des réfugiés et participe aux mécanismes du HCR, ce pays manque à ses devoirs vis-à-vis des populations séquestrées sur son sol, déplore le rapport, qui regrette aussi que l'agence onusienne, "en charge de la protection des réfugiés (...) ait préféré se cantonner dans un rôle secondaire qui se limite à l'approvisionnement des camps en nourriture et en matériel".
"Etant donné les abus commis durant plus de trois décennies, il est impératif que cette situation change afin qu'une autre génération de ces populations ne soit pas dérobée de ses droits, de ses opportunités et de son avenir", insistent les auteurs de ce rapport, qui rappellent que "le HCR a le pouvoir de solliciter d'autres instances onusiennes, tel que le Conseil de sécurité, afin de faire avancer et de protéger les droits des réfugiés".
Le document constate, dans ce cadre, qu'au moment où le conseil de sécurité est activement engagé dans la recherche d'un règlement à la question du Sahara et "en dépit de l'existence de preuves attestant d'abus et de violations" des droits dans les camps de Tindouf, le HCR n'a pas cherché à solliciter l'assistance du Conseil de sécurité pour résoudre et remédier à ces abus.
En attendant, poursuit le rapport, les populations séquestrées sur le sol algérien "vivent dans des conditions physiques et morales déplorables", insistant sur la responsabilité d'Alger quant à l'obligation de protéger les droits des pensionnaires des camps de Tindouf.
Il est temps, insiste le rapport, pour le Haut commissariat aux réfugiés d'avoir un contrôle "plus efficace" de la situation dans les camps afin d'y "assurer, dans la transparence et la responsabilité, la distribution de l'aide" destinée aux populations, d'appeler à la mise en Âœuvre immédiate d'un recensement et de prévenir la militarisation des camps.
Le rapport appelle aussi le HCR à mettre en place, loin de toute intimidation, un programme de rapatriement volontaire des populations des camps pour qu'elles puissent regagner le Maroc, ou quitter les camps pour s'installer dans des pays tiers.
"Parquer des populations dans les camps (...) va contre les dispositions de base du droit relatif aux réfugiés et le mandat du HCR, et ne facilite pas leur intégration au niveau local", s'indignent les auteurs du rapport, pour qui "les camps, où les violations du droit international sont une réalité, ne peuvent être une solution durable".
Le rapport soutient, dans ce cadre, que le fait d'isoler des populations et "les assujettir à un contrôle arbitraire va à rebours des principes fondateurs du Haut commissariat aux réfugiés", mettant en exergue l'urgence pour les populations séquestrées dans les camps de Tindouf de pouvoir jouir de leur liberté conformément au droit international.
Crée en 1997, Inter-University Center for Legal Studies est un think tank qui apporte sa contribution académique à un large éventail de sujets concernant les droits de l'homme, les questions ethnique et raciale, ainsi que la tolérance religieuse, le terrorisme et les crimes de guerre.
L'objectif des travaux de l'IUCLS est de mettre l'accent sur les liens entre l'état de droit et plusieurs sujets d'actualité, et observer les menaces actuelles et possibles à la paix et à la sécurité auxquelles il apporte des réponses stratégiques.
L'IUCLS, qui est un consortium de plusieurs universités, est présent en tant que think tank dans plus de 35 pays de par le monde. source: map