Thursday, October 29, 2009

Tras el enérgico reclamo del gobierno argentino a Brasil para que libere la mercancía en tránsito demorada en la frontera


Tras el enérgico reclamo del gobierno argentino a Brasil para que libere la mercancía en tránsito demorada en la frontera, en la madrugada pasaron más de 500 camiones con frutas, verduras, aceites y cereales por el paso de Uruguayana.
Por pedido del canciller Jorge Taiana, el secretario de Relaciones Económicas Internacionales, Alfredo Chiaradia, le presentó un reclamo formal al embajador de Brasil en Buenos Aires, Mauro Vieira, durante una reunión privada.
En esta reunión le advirtió: "Es inaceptable que se detengan camiones sin aviso previo y con mercadería perecedera de distintas provincias Argentinas", que viola los acuerdos del Mercosur.
Los voceros de la embajada de Brasil afirmaron, por su parte, que "no existe un conflicto, ya que tienen más de 4.500 productos en su nomenclador arancelario".
Sin embargo, los analistas del mercado coinciden en que la medida aplicada por el presidente Luiz Inácio Lula da Silva, es una represalia de las licencias no automáticas que promovió Argentina con el argumento de proteger el empleo, la industria y la producción de los efectos de la crisis mundial.
En tanto, el ministro de Economía de Argentina, Amado Boudou, buscó bajarle el tono a la creciente disputa comercial, señalando que "se trata del socio más importante de la región y que sólo en 6% de los productos existen problemas".
Este, sin dudas, es un capítulo más de las disputas por las trabas recíprocas al comercio bilateral de los dos países más poderosos del Mercosur, que intercambian más de US$ 2.300 millones por mes entre importaciones y exportaciones.
El 18 de noviembre, los presidentes Inácio Lula Da Silva y Cristina Fernández de Kirchner se reunirán nuevamente, ya que fracasaron en su intento de que fuera el sector empresarial el que encontrara una salida a las controversias.
Ahora, serán los mandatarios los que tendrán que superar sus diferencias, en medio de una puja millonaria por productos como harinas, aceites, vinos y teléfonos celulares. voa

Tuesday, October 20, 2009

U coup dur pour le polisario et la diplomatie algérienne

L'interdiction du polisario d'assister au sommet Afrique-Amérique du sud (26-27 septembre au Venezuela), auquel le polisario a été interdit d'assister, a porté un coup dur à la diplomatie algérienne. Le futur deuxième coup serait: si un élément des mercenaires mène une attaque contre le territoire marocain, comme dans les années 80 le Maroc demanderait à l'Algérie des explications, demande que l'Algérie extrade ce mercenaire pour le juger sinon l'Algérie serait l'instigateur de cette attaque.

Saturday, October 17, 2009

Sahara, Maroc, Algérie et les mercenaires terroristes polisariens


Même si le Maroc applique le principe: "la patrie est clémente et miséricordieux", Je vois pas comment les sahraouis du sahara occidental vont accepter que le nommé Mohamed Abdelaaziz Al marrakechi et sa bande les gouvernent même si ils acceptent la proposition Marocaine: "l'autonomie dans les provinces du sud".
Je ne vois pas non plus comment les séquestrés de Tindouf vont pardonner à l'Algérie ces 30 ans d'esclavages dans une zone militaire, politique, policière, terroriste et tous ce que vous pouvez imaginez d'anti-droit humain sauf une zone de Réfugiés??!!!!
Je ne vois pas non plus suivant quel droit international on peut classer un séparatiste; qui porte une combinaison militaire d'un pays voisin ennemi, qui s'entraîne dans les casernes de ce pays ennemi froid, qui mène des attaques contre ses compatriotes par les armes et les renseignements du pays qui l'accueille?; comme un réfugié???????????????????????????????????????????!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

  
      

Monday, October 12, 2009

Le "think tank américain", Inter-University Center for Legal Studies (IUCLS) resserre l'étau sur l'Algérie



Le conflit du sahara occidentale est Algéro-Marocains. De point de vue ce conflit l'Algérie est le Polisario, le Polisario est l'Algérie. Le Polisario, un instrument de guerre Algérien, un pont de détournement des aides humanitaires vers les poches des chefs de mercenaires, de certains responsables politiques et militaires Algériens et des bandes qui blanchissent ces aides humanitaires pour acheter des armes et les mettre entre les mains des terroristes pour tuer des innocents et même ceux qui donnent ces aides humanitaires. La face cachée de l'Algérie derrière ce conflit devient de plus en plus visible. Il n'est plus permet à l'Algérie de continuer à emprisonner des Marocains sur son Territoire à Tindouf sous le prétexte que ce sont des réfugiés et en même temps former militairement,  abriter, financer et encadrer des mercenaires et résidus de la guerre froide (USA-Ex-URSS) pour mener des attaques contre son voisin le Maroc. Il n'est plus permet non plus à ces fantoches de massacrer la population Marocaine dans les camps de Tindouf et les traiter comme des esclaves ni mener des attaques de Guérillas dans le territoire Marocain. Dorénavant tout attaque depuis l'Algérie dans le territoire marocain serait considéré comme une provocation de guerre et pousserait la population marocaine des provinces du sud à réclamer des dommages et intérêts pour les massacres commis  déjà par des mercenaires Algériens au sud du Maroc dans les années 70 et 80.        




Les populations séquestrées à Tindouf ne doivent plus souffrir des manquements de l'Algérie à ses engagements (Think Tank US)

Washington-12/10/09 - Les populations séquestrées dans les camps de Tindouf ne doivent plus souffrir des manquements de l'Algérie au droit international, estime le think tank américain, Inter-University Center for Legal Studies (IUCLS), appelant le Haut Commissariat aux Réfugiés (HCR) à établir une présence significative dans les camps afin d'y assurer la protection des droits des populations, y compris la liberté de mouvement.


"En vertu de ses engagements, l'Algérie doit collaborer avec le HCR afin de lever tous les obstacles qui se dressent devant la mise en place d'une approche basée sur les droits, y compris son opposition au recensement des populations des camps (...) et son soutien militaire au polisario, qui contribue aux restrictions de la liberté de mouvement", souligne ce think tank, dans un récent rapport.
Bien que l'Algérie soit signataire des conventions internationales relatives aux droits des réfugiés et participe aux mécanismes du HCR, ce pays manque à ses devoirs vis-à-vis des populations séquestrées sur son sol, déplore le rapport, qui regrette aussi que l'agence onusienne, "en charge de la protection des réfugiés (...) ait préféré se cantonner dans un rôle secondaire qui se limite à l'approvisionnement des camps en nourriture et en matériel".
"Etant donné les abus commis durant plus de trois décennies, il est impératif que cette situation change afin qu'une autre génération de ces populations ne soit pas dérobée de ses droits, de ses opportunités et de son avenir", insistent les auteurs de ce rapport, qui rappellent que "le HCR a le pouvoir de solliciter d'autres instances onusiennes, tel que le Conseil de sécurité, afin de faire avancer et de protéger les droits des réfugiés".
Le document constate, dans ce cadre, qu'au moment où le conseil de sécurité est activement engagé dans la recherche d'un règlement à la question du Sahara et "en dépit de l'existence de preuves attestant d'abus et de violations" des droits dans les camps de Tindouf, le HCR n'a pas cherché à solliciter l'assistance du Conseil de sécurité pour résoudre et remédier à ces abus.
En attendant, poursuit le rapport, les populations séquestrées sur le sol algérien "vivent dans des conditions physiques et morales déplorables", insistant sur la responsabilité d'Alger quant à l'obligation de protéger les droits des pensionnaires des camps de Tindouf.
Il est temps, insiste le rapport, pour le Haut commissariat aux réfugiés d'avoir un contrôle "plus efficace" de la situation dans les camps afin d'y "assurer, dans la transparence et la responsabilité, la distribution de l'aide" destinée aux populations, d'appeler à la mise en Âœuvre immédiate d'un recensement et de prévenir la militarisation des camps.
Le rapport appelle aussi le HCR à mettre en place, loin de toute intimidation, un programme de rapatriement volontaire des populations des camps pour qu'elles puissent regagner le Maroc, ou quitter les camps pour s'installer dans des pays tiers.
"Parquer des populations dans les camps (...) va contre les dispositions de base du droit relatif aux réfugiés et le mandat du HCR, et ne facilite pas leur intégration au niveau local", s'indignent les auteurs du rapport, pour qui "les camps, où les violations du droit international sont une réalité, ne peuvent être une solution durable".
Le rapport soutient, dans ce cadre, que le fait d'isoler des populations et "les assujettir à un contrôle arbitraire va à rebours des principes fondateurs du Haut commissariat aux réfugiés", mettant en exergue l'urgence pour les populations séquestrées dans les camps de Tindouf de pouvoir jouir de leur liberté conformément au droit international.
Crée en 1997, Inter-University Center for Legal Studies est un think tank qui apporte sa contribution académique à un large éventail de sujets concernant les droits de l'homme, les questions ethnique et raciale, ainsi que la tolérance religieuse, le terrorisme et les crimes de guerre.
L'objectif des travaux de l'IUCLS est de mettre l'accent sur les liens entre l'état de droit et plusieurs sujets d'actualité, et observer les menaces actuelles et possibles à la paix et à la sécurité auxquelles il apporte des réponses stratégiques.
L'IUCLS, qui est un consortium de plusieurs universités, est présent en tant que think tank dans plus de 35 pays de par le monde. source: map

Wednesday, October 7, 2009

Quand est ce que l'Algérie libère les victimes des camps de concentration sous les tentes de Tindouf:


Sahara : Une ONG britannique appelle à la libération des populations séquestrées à Tindouf
New York (Nations Unies), 07/10/09 - Le Président d'une ONG britannique, le Comité international pour les prisonniers de Tindouf, Lord Francis Newell, a appelé, mardi à New York, à la libération des populations séquestrées à Tindouf en Algérie.

Ces personnes sont "de véritables prisonniers dans des camps de concentration sous les tentes", a affirmé Lord Newell, relevant que "tant qu'elles ne seront pas libérées rien ne pourra être résolu".
"Quand elles seront libres, à ce moment là, elles pourront décider du choix de leur destination", a-t-il ajouté, estimant que le moment était venu pour l'ONU de mettre un terme aux violations des droits de l'homme à Tindouf.
Il a également appelé la Commission des droits de l'homme de l'ONU à agir pour préserver les droits des populations séquestrées dans le sud algérien, relevant que de nombreux enfants sont arrachés à leurs familles soi-disant pour étudier à l'étranger.
Ces enfants, a-t-il déploré, ne sont plus capables de communiquer avec leurs familles à leur retour du fait qu'ils ont perdu l'usage de leur langue maternelle, ce qui constitue un crime. Source: map

Friday, October 2, 2009

Maroc-Algérie-séquestrés-de-Tindouf: Vers La réinstallation dans des pays tiers

Maroc-Algérie-séquestrés: La solution de la réinstallation au coeur des travaux du Comité Exécutif du HCR à Genève
Genève- La thématique des solutions durables et particulièrement la réinstallation des populations réfugiées, est au cœur des travaux de la 60-ème session du Comité Exécutif du Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR), qui se déroulent actuellement à Genève.


Le débat a été lancé par le discours d'ouverture de M. Antonio Guterres, Haut Commissaire pour les Réfugiés, qui a qualifié les solutions durables de clé de voûte de la protection internationale, ajoutant que la diminution des possibilités de rapatriement librement consenti et d'intégration sur place, s'est traduite par une augmentation croissante de la demande de réinstallation dans des pays tiers.


Le rapport présenté à cette occasion par M. Guterres souligne que l'assistance alimentaire ou l'autosuffisance ne constituent pas des solutions durables aux situations de réfugiés prolongées. Ces solutions palliatives renforcent le statu quo des réfugiés de longue date et perpétuent leur statut d'assistés. Le rapport révèle, en outre, que le HCR a conduit avec succès plusieurs opérations de réinstallation, en 2008, en faveur de 65.800 réfugiés, sur plus de 120.000 demandes, notamment aux Etats-Unis, au Canada, en Australie, en Suède, en Norvège et en Nouvelle-Zélande. Les principaux bénéficiaires de ces réinstallations ont été des réfugiés originaires du Myanmar, du Burundi, de la Somalie, d'Irak, de la République démocratique du Congo et d'Afghanistan.


Dans ce contexte, plusieurs pays de réinstallation, dont le nombre s'est accru ces dernières années, ont apporté leur soutien à la stratégie du HCR pour les solutions durables. Ils ont tenu à préciser que leur engagement était motivé par des considérations éminemment humanitaires.


Ainsi, M. Eric Schwartz, Sous Secrétaire d'Etat américain pour la population, les réfugiés et les migrants, a annoncé, mercredi, la décision de son pays d'accorder au HCR une contribution de 400 millions de dollars pour la mise en Âœuvre des solutions durables, avec une insistance particulière sur la solution de réinstallation.


Pour leur part, les chefs des délégations du Canada, de l'Australie et les pays de l'Union Européenne, traditionnellement engagés dans des programmes de réinstallation dans leurs pays respectifs, ont exprimé un appui fort au plan d'action global du HCR pour les solutions durables, particulièrement en faveur des situations de réfugié prolongées.


En outre, plusieurs délégations ont déclaré devant le Comité Exécutif du HCR que la batterie de solutions durables prévue par le droit humanitaire international, n'a pas été optimalement exploitée. Aussi ont-ils appelé à davantage de solidarité et de partage des charges, afin d'assurer une meilleure protection des réfugiés se trouvant dans des situations prolongées.


C'est dans ce contexte favorable à la réinstallation des réfugiés dans des pays tiers qu'est intervenu l'appel du Maroc au HCR, mardi dernier, d'Âœuvrer à la réinstallation des populations séquestrées des camps de Tindouf, dans des pays tiers.


A cet égard, plusieurs délégués ont noté, dans les couloirs du Palais des Nations à Genève, la pertinence et l'opportunité de la démarche marocaine au profit des populations des camps de Tindouf, qui s'inscrit parfaitement dans le cadre du mandat du HCR. Ils ont également relevé son caractère ouvert et audacieux face au double Niet de l'Algérie au rapatriement librement consenti et à l'intégration sur place des populations de ces camps.


Le sentiment recueilli parmi les délégations participant à cette 60ème session du Comité Exécutif du HCR, est que la demande marocaine a le mérite d'apporter une lueur d'espoir et de liberté aux populations des camps de Tindouf, dans l'attente d'une solution politique définitive au différend régional autour de la question du Sahara marocain. (MAP)