Monday, October 12, 2009

Le "think tank américain", Inter-University Center for Legal Studies (IUCLS) resserre l'étau sur l'Algérie



Le conflit du sahara occidentale est Algéro-Marocains. De point de vue ce conflit l'Algérie est le Polisario, le Polisario est l'Algérie. Le Polisario, un instrument de guerre Algérien, un pont de détournement des aides humanitaires vers les poches des chefs de mercenaires, de certains responsables politiques et militaires Algériens et des bandes qui blanchissent ces aides humanitaires pour acheter des armes et les mettre entre les mains des terroristes pour tuer des innocents et même ceux qui donnent ces aides humanitaires. La face cachée de l'Algérie derrière ce conflit devient de plus en plus visible. Il n'est plus permet à l'Algérie de continuer à emprisonner des Marocains sur son Territoire à Tindouf sous le prétexte que ce sont des réfugiés et en même temps former militairement,  abriter, financer et encadrer des mercenaires et résidus de la guerre froide (USA-Ex-URSS) pour mener des attaques contre son voisin le Maroc. Il n'est plus permet non plus à ces fantoches de massacrer la population Marocaine dans les camps de Tindouf et les traiter comme des esclaves ni mener des attaques de Guérillas dans le territoire Marocain. Dorénavant tout attaque depuis l'Algérie dans le territoire marocain serait considéré comme une provocation de guerre et pousserait la population marocaine des provinces du sud à réclamer des dommages et intérêts pour les massacres commis  déjà par des mercenaires Algériens au sud du Maroc dans les années 70 et 80.        




Les populations séquestrées à Tindouf ne doivent plus souffrir des manquements de l'Algérie à ses engagements (Think Tank US)

Washington-12/10/09 - Les populations séquestrées dans les camps de Tindouf ne doivent plus souffrir des manquements de l'Algérie au droit international, estime le think tank américain, Inter-University Center for Legal Studies (IUCLS), appelant le Haut Commissariat aux Réfugiés (HCR) à établir une présence significative dans les camps afin d'y assurer la protection des droits des populations, y compris la liberté de mouvement.


"En vertu de ses engagements, l'Algérie doit collaborer avec le HCR afin de lever tous les obstacles qui se dressent devant la mise en place d'une approche basée sur les droits, y compris son opposition au recensement des populations des camps (...) et son soutien militaire au polisario, qui contribue aux restrictions de la liberté de mouvement", souligne ce think tank, dans un récent rapport.
Bien que l'Algérie soit signataire des conventions internationales relatives aux droits des réfugiés et participe aux mécanismes du HCR, ce pays manque à ses devoirs vis-à-vis des populations séquestrées sur son sol, déplore le rapport, qui regrette aussi que l'agence onusienne, "en charge de la protection des réfugiés (...) ait préféré se cantonner dans un rôle secondaire qui se limite à l'approvisionnement des camps en nourriture et en matériel".
"Etant donné les abus commis durant plus de trois décennies, il est impératif que cette situation change afin qu'une autre génération de ces populations ne soit pas dérobée de ses droits, de ses opportunités et de son avenir", insistent les auteurs de ce rapport, qui rappellent que "le HCR a le pouvoir de solliciter d'autres instances onusiennes, tel que le Conseil de sécurité, afin de faire avancer et de protéger les droits des réfugiés".
Le document constate, dans ce cadre, qu'au moment où le conseil de sécurité est activement engagé dans la recherche d'un règlement à la question du Sahara et "en dépit de l'existence de preuves attestant d'abus et de violations" des droits dans les camps de Tindouf, le HCR n'a pas cherché à solliciter l'assistance du Conseil de sécurité pour résoudre et remédier à ces abus.
En attendant, poursuit le rapport, les populations séquestrées sur le sol algérien "vivent dans des conditions physiques et morales déplorables", insistant sur la responsabilité d'Alger quant à l'obligation de protéger les droits des pensionnaires des camps de Tindouf.
Il est temps, insiste le rapport, pour le Haut commissariat aux réfugiés d'avoir un contrôle "plus efficace" de la situation dans les camps afin d'y "assurer, dans la transparence et la responsabilité, la distribution de l'aide" destinée aux populations, d'appeler à la mise en Âœuvre immédiate d'un recensement et de prévenir la militarisation des camps.
Le rapport appelle aussi le HCR à mettre en place, loin de toute intimidation, un programme de rapatriement volontaire des populations des camps pour qu'elles puissent regagner le Maroc, ou quitter les camps pour s'installer dans des pays tiers.
"Parquer des populations dans les camps (...) va contre les dispositions de base du droit relatif aux réfugiés et le mandat du HCR, et ne facilite pas leur intégration au niveau local", s'indignent les auteurs du rapport, pour qui "les camps, où les violations du droit international sont une réalité, ne peuvent être une solution durable".
Le rapport soutient, dans ce cadre, que le fait d'isoler des populations et "les assujettir à un contrôle arbitraire va à rebours des principes fondateurs du Haut commissariat aux réfugiés", mettant en exergue l'urgence pour les populations séquestrées dans les camps de Tindouf de pouvoir jouir de leur liberté conformément au droit international.
Crée en 1997, Inter-University Center for Legal Studies est un think tank qui apporte sa contribution académique à un large éventail de sujets concernant les droits de l'homme, les questions ethnique et raciale, ainsi que la tolérance religieuse, le terrorisme et les crimes de guerre.
L'objectif des travaux de l'IUCLS est de mettre l'accent sur les liens entre l'état de droit et plusieurs sujets d'actualité, et observer les menaces actuelles et possibles à la paix et à la sécurité auxquelles il apporte des réponses stratégiques.
L'IUCLS, qui est un consortium de plusieurs universités, est présent en tant que think tank dans plus de 35 pays de par le monde. source: map

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