Saturday, November 7, 2009

RASD: Régie Algérienne du Sous-Développment


Le taux de chômage des jeunes dans un pays pétrolier comme l'Algérie a atteint les 25%. Le FMI vient de recommander à l'Algérie de diversifier son économie afin de ne plus dépendre des seules ressources tirées des hydrocarbures et de développer le secteur privé en tant que relais de la dépense publique. Ce qu'on peut oublier et que l'Algérie investit dans un autre secteur industriel: l'intelligence et le lobbying pour créer un mini-Etat dont le président serait, un marocain dont les parents et ancêtres sont historiquement des marocains et vivent actuellement au maroc, nommé Mohamed Abdelaziz Al Marrakechi qu'il rêve porter le nom: RASD. En croyant nuire au Maroc le régime Algérien a causé beaucoup de problèmes à la population algérienne en détournant l'argent du contribuable algérien, des revenus du pétrole et des gaz algérien vers cette régie RASD (Régie Algérienne du Sous-Développement) dont le directeur est le marocain Mohamed Abdelaziz El marrakechi.     

34éme anniversaire de la marche verte

Texte intégral du Discours Royal à l'occasion de la marche verte:

"Louange à Dieu. Prière et salut sur le Prophète.
Sa famille et Ses compagnons.

Cher peuple.

Nous commémorons aujourd'hui le 34ème anniversaire de la glorieuse Marche Verte, plus fidèles que jamais au serment y afférent, de demeurer solidement attachés à l'intégrité territoriale du Royaume, à ses constantes sacrées et à sa souveraineté pleine et entière. C'est un attachement scellé par une parfaite symbiose entre le Trône et le peuple, et une unanimité nationale sans faille.

Nous célébrons cette épopée historique en nous inspirant davantage encore de l'esprit créateur qui y avait présidé, et en y puisant les ressorts nécessaires pour faire pièce aux complots ourdis contre la marocanité de notre Sahara. Nous nous y employons avec la sagesse, la constance, la fermeté et l'audace qu'exige la situation, prenant les initiatives constructives qui nous paraissent nécessaires pour assurer à nos provinces du Sud le développement, le progrès et l'unité que Nous souhaitons pour elles. Pour y parvenir, notre atout majeur est la solidité du front intérieur ainsi que notre détermination à aller de l'avant, animés d'une volonté nationale souveraine, dans le renforcement de la démocratie et du développement.

Aussi, avons-Nous décidé d'imprimer une nouvelle dynamique à l'esprit de la Marche verte, afin de relever les défis actuels et à venir concernant notre cause nationale, en procédant, à cet effet, à la mise en Âœuvre d'un plan intégré, axé autour de cinq orientations majeures :.

1- Faire bénéficier les provinces sahariennes de la primauté dans le processus de régionalisation avancée escomptée, de façon à conforter leur capacité à gérer leurs propres affaires locales.

2- Veiller à ce que le gouvernement fasse de ces provinces un modèle de déconcentration et de bonne gouvernance locale, en mettant à leur disposition les meilleurs cadres et en leur conférant de larges compétences sous la supervision, légale et ferme, des walis et des gouverneurs de Notre Majesté.

3- Engager la restructuration du Conseil Royal Consultatif des Affaires Sahariennes (CORCAS), dans la perspective de la fin de son mandat. Il s'agira de revoir sa composition et de renforcer sa représentativité en assurant son ouverture sur de nouvelles élites compétentes et patriotiques. Il faudra également opérer la mise à niveau de ses structures et de son mode de fonctionnement. Ceux-ci doivent, en effet, être mis en adéquation avec les nouveaux défis et ce, parallèlement à l'amélioration de l'efficacité de l'action du Conseil en matière de mobilisation en faveur de la défense de la marocanité du Sahara et de son développement.

4- Procéder à la révision du champ d'action de l'Agence de développement des provinces sahariennes et de sa compétence territoriale, en veillant à ce qu'elle focalise ses efforts sur les provinces sahariennes et qu'elle s'attache à mettre en Âœuvre des projets de développement humain, et des programmes locaux générateurs d'emplois pour les jeunes et de nature à renforcer la justice sociale et l'équité. Il lui appartient également d'Âœuvrer pour faciliter les conditions de retour de tous les repentis, des camps de Tindouf. Elle s'attachera, en outre, à assurer leur accueil et à favoriser leur intégration.

5- Oeuvrer pour que les instances politiques, syndicales, associatives et médiatiques ainsi que toutes les forces productives et créatrices, assument les responsabilités qui leur incombent en matière d'encadrement des citoyens, et d'ancrage des valeurs de patriotisme et de citoyenneté effective. Car en effet, la mise en Âœuvre d'une telle stratégie n'incombe pas seulement à l'Etat et ses organes, mais elle requiert aussi la mobilisation totale de tous les acteurs aux niveaux national et local.

Nous tenons, à cet égard, à renouveler à tous Nos fidèles sujets dans notre Sahara - qu'il s'agisse des Chioukhs, des notables ou des élus ou encore des membres de la société civile, l'expression de Notre hommage pour leur constante allégeance et leur solide attachement à leur marocanité.

Cher peuple.

La mise en œuvre des orientations retenues pour cette nouvelle étape, dans le domaine politique et en matière de développement, ne doit pas être cantonnée dans le seul front interne. Elle requiert des efforts conjugués qu'il appartient à la diplomatie officielle et à la diplomatie parallèle de déployer pour défendre la marocanité du Sahara et l'Initiative d'autonomie, dont la communauté internationale a d'ailleurs salué le sérieux et la crédibilité.

Il n'en demeure pas moins que les adversaires de notre intégrité territoriale se sont évertués à contrarier la dynamique de négociation que notre Initiative a enclenchée au niveau onusien. Ils sont allés dans l'escalade et l'hostilité jusqu'à fomenter un plan de conspiration, recourant, entre autres stratagèmes et modes opératoires, à l'extorsion, aux pressions, à la provocation et à la perversion de l'esprit de la légalité internationale.

Tout en réaffirmant notre attachement au processus onusien de négociation autour de notre Initiative d'autonomie, Nous considérons le moment venu d'affronter cette escalade belliqueuse avec toute la fermeté requise, en faisant montre d'un patriotisme sincère et d'une grande clarté dans nos positions, et en veillant à ce que chacun assume les responsabilités qui sont les siennes.

A cet égard, Nous réitérons Notre engagement pour que le Maroc demeure un Etat de droit et de progrès démocratique. C'est un attachement qui n'a d'égal que Notre refus de l'exploitation détestable des acquis dont jouit notre pays en matière de libertés et de droits humains, et le rejet de leur instrumentalisation par quiconque s'avise de comploter contre la souveraineté, l'unité et les constantes sacrées de notre pays.

Le temps est venu pour que toutes les autorités publiques redoublent de vigilance et de mobilisation afin de contrecarrer, avec la force de la loi, toute atteinte à la souveraineté de la nation, et de préserver, avec toute la fermeté requise, la sécurité, la stabilité et l'ordre public qui est le gage effectif de l'exercice des libertés.

En toute responsabilité, Nous affirmons qu'il n'y a plus de place pour l'ambigüité et la duplicité : ou le citoyen est marocain, ou il ne l'est pas. Fini le temps du double jeu et de la dérobade. L'heure est à la clarté et au devoir assumé. Ou on est patriote ou on est traitre. Il n'ya pas de juste milieu entre le patriotisme et la trahison. On ne peut jouir des droits de la citoyenneté, et les renier à la fois en complotant avec les ennemis de la patrie.

Quant aux adversaires de notre intégrité territoriale et ceux qui se meuvent dans leur giron, ils savent plus que d'autres que le Sahara est une cause cruciale pour le peuple marocain, uni autour de son Trône qui est le dépositaire et le garant de sa souveraineté, de son unité nationale et de son intégrité territoriale.

En faisant de cette question la clef de voûte de leur stratégie belliqueuse, ils ne font que confirmer qu'ils sont bien le véritable protagoniste dans ce conflit artificiel, faisant fi des sentiments de fraternité réciproque existant entre les peuples marocain et algérien.

Ce faisant, ils hypothèquent de surcroît l'avenir des relations bilatérales et la concrétisation de l'Union maghrébine, alors que le Maroc ne cesse d'appeler à l'intégration et à la complémentarité pour relever les défis majeurs de la région en matière de sécurité et de développement.

Tout en saluant le soutien de nos amis à notre juste cause, nous interpellons certains milieux chez eux en les interrogeant : y a-t-il un pays démocratique qui accepterait que la démocratie et les droits de l'homme servent de prétexte ou de tremplin pour qu'une bande de hors-la-loi complote, en intelligence avec les ennemis, contre son unité et ses intérêts supérieurs?.

Depuis quand l'exercice des libertés autorise-t-il que des biens publics et privés, constitués au prix de tant de sacrifices de la part des citoyens, soient vandalisés? et quel est, du reste, le tort de ces citoyens ?.

Il n'en est rien. Bien au contraire : toutes les lois nationales et les conventions internationales sont unanimes à criminaliser la violence, et considèrent que l'intelligence avec l'ennemi relève de la haute trahison.

A cet égard, Nous disons à tous que le Maroc, pays de liberté et d'ouverture, refuse de se prêter à une surenchère sur les droits de l'homme, surtout de la part de régimes ou de groupes fondés précisément sur la négation et la violation de ces droits. Mieux encore, ceux-ci s'obstinent, par la perfidie et la supercherie, à en faire un fonds de commerce, usant d'un mercantilisme de bas étage pour tirer des dividendes - à l'intérieur comme à l'extérieur - en s'attaquant aux sacralités de la nation ou en exploitant la situation inhumaine qu'endurent nos frères à Tindouf.

Cette situation, douloureuse s'il en est, place l'Algérie et les organismes internationaux, notamment le HCR, devant leurs responsabilités pour que soit assurée à nos frères une protection effective. Ceci requiert, notamment, leur recensement, le respect de leur dignité, et la faculté pour eux d'exercer leur droit naturel à la circulation et au retour librement consenti dans leur patrie, le Maroc.

Avec le même attachement à la légalité internationale, Nous assurons de nouveau l'Organisation onusienne de la pleine et constante disposition du Maroc à s'engager dans des négociations sérieuses et à faciliter la mission de l'Envoyé personnel du Secrétaire Général des Nations Unies, pour qu'il poursuive les efforts de son prédécesseur, afin de trouver une solution politique consensuelle, réaliste et définitive, sur la base de la proposition d'autonomie et dans le cadre de la souveraineté du Royaume, de son unité nationale et de son intégrité territoriale.

Cher peuple.

En ce moment privilégié de notre histoire, nous avons une pensée émue pour la mémoire immaculée du concepteur de la Marche verte, Notre Vénéré Père, Sa Majesté le Roi Hassan II - que Dieu sanctifie Son âme-, ainsi que celle des vertueux martyrs de l'intégrité du territoire de leur patrie. Notre meilleur gage de fidélité à leur mémoire éternelle, est donc de réaffirmer le serment indéfectible de ne jamais marchander ou renoncer à un grain de sable de notre Sahara, car il s'agit d'une question d'existence et non de frontières.

Nous tenons à saluer de nouveau la vigilance et la mobilisation dont les forces armées et de gendarmerie Royales, la Sûreté nationale ainsi que les Forces auxiliaires et l'Administration territoriale, font preuve pour la préservation de la sécurité et de l'intégrité territoriale de la nation.

Nous sommes convaincu que nous remporterons à terme la bataille du conflit artificiel suscité autour de notre intégrité territoriale, car nous sommes des ayant-droit, forts d'une légitimité historique et juridique, et parce que, de surcroît, tous les Marocains sont convaincus que cette cause qui est la leur, est une cause juste et sacrée.

Tu Me trouveras, cher peuple, en première ligne parmi les défenseurs et les protecteurs de la souveraineté du Royaume, de son unité nationale et de son intégrité territoriale, demeurant tous fidèles au pacte d'allégeance mutuelle, à notre engagement constitutionnel, et à l'intime conviction qui nous habite quant à l'inéluctabilité de la victoire.

+Dieu soutient, certes, celui qui Le fait prévaloir. Dieu est fort et puissant+. Véridique est la parole de Dieu.

Wassalamou alaïkoum wa rahmatoullahi wa barakatouh". source: map

Extrait:
"A cet égard, Nous disons à tous que le Maroc, pays de liberté et d'ouverture, refuse de se prêter à une surenchère sur les droits de l'homme, surtout de la part de régimes ou de groupes fondés précisément sur la négation et la violation de ces droits. Mieux encore, ceux-ci s'obstinent, par la perfidie et la supercherie, à en faire un fonds de commerce, usant d'un mercantilisme de bas étage pour tirer des dividendes - à l'intérieur comme à l'extérieur - en s'attaquant aux sacralités de la nation ou en exploitant la situation inhumaine qu'endurent nos frères à Tindouf."

Il est évident que le régime algérien exploite, sous prétexte qu'il accueille des réfugiés, des marocains dans les camps de Tindouf, pour tirer toutes les dividendes. 

Parmi ces dividendes on cite:

1- Déléguer sa guerre contre le Maroc à une bande dirigée par un marocain fantoche à savoir: Mohamed Abdelaaziz El marrakechi. Cette bande qui a commis plusieurs attaques et raids contre le territoire du sud maroc, avec des centaines de véhicules militaires achetées et financées par l'Algérie. 

Parmi ces attaques:
- Attaques contre la localité de AKKA, TATA le 25 janvier 1980.
- Attaque contre M'hamid près de Zagora: le 9 octobre 1980.
- Attaque contre la ville de TATA: le 3 septembre 1980
- Attaque contre sidi amara, au nord de Zag: le 16 avril 1981.

Cette bande à l'aide de mercenaires, payés à la tâche,  recrutés par l'Algérie de cuba et de certains pays africains avait tués plusieurs marocains dans ces localités et dans d'autres localités du Sahara Occidental Marocain, comme elle avait amené d'autres par force dans les camps de Tindouf.

2- Tirer des profits en détournant les aides humanitaires envoyés aux réfugiés du camp de Tindouf.


Il n'est plus permit à l'Algérie de continuer à nuire au maroc via cet instrument de guerre qui est le polisario. Ce Polisario crée, financé, abrité, entretenu et équipé militairement pour mener de temps en temps des raids éclaires contre le Maroc.

Il n'existe aucun pays au monde qui accepte que le pays voisin de l'est accueille des réfugiés qui mènent des attaques militaires contre son sud quelques en soient les raisons.     
 
  






Thursday, October 29, 2009

Tras el enérgico reclamo del gobierno argentino a Brasil para que libere la mercancía en tránsito demorada en la frontera


Tras el enérgico reclamo del gobierno argentino a Brasil para que libere la mercancía en tránsito demorada en la frontera, en la madrugada pasaron más de 500 camiones con frutas, verduras, aceites y cereales por el paso de Uruguayana.
Por pedido del canciller Jorge Taiana, el secretario de Relaciones Económicas Internacionales, Alfredo Chiaradia, le presentó un reclamo formal al embajador de Brasil en Buenos Aires, Mauro Vieira, durante una reunión privada.
En esta reunión le advirtió: "Es inaceptable que se detengan camiones sin aviso previo y con mercadería perecedera de distintas provincias Argentinas", que viola los acuerdos del Mercosur.
Los voceros de la embajada de Brasil afirmaron, por su parte, que "no existe un conflicto, ya que tienen más de 4.500 productos en su nomenclador arancelario".
Sin embargo, los analistas del mercado coinciden en que la medida aplicada por el presidente Luiz Inácio Lula da Silva, es una represalia de las licencias no automáticas que promovió Argentina con el argumento de proteger el empleo, la industria y la producción de los efectos de la crisis mundial.
En tanto, el ministro de Economía de Argentina, Amado Boudou, buscó bajarle el tono a la creciente disputa comercial, señalando que "se trata del socio más importante de la región y que sólo en 6% de los productos existen problemas".
Este, sin dudas, es un capítulo más de las disputas por las trabas recíprocas al comercio bilateral de los dos países más poderosos del Mercosur, que intercambian más de US$ 2.300 millones por mes entre importaciones y exportaciones.
El 18 de noviembre, los presidentes Inácio Lula Da Silva y Cristina Fernández de Kirchner se reunirán nuevamente, ya que fracasaron en su intento de que fuera el sector empresarial el que encontrara una salida a las controversias.
Ahora, serán los mandatarios los que tendrán que superar sus diferencias, en medio de una puja millonaria por productos como harinas, aceites, vinos y teléfonos celulares. voa

Tuesday, October 20, 2009

U coup dur pour le polisario et la diplomatie algérienne

L'interdiction du polisario d'assister au sommet Afrique-Amérique du sud (26-27 septembre au Venezuela), auquel le polisario a été interdit d'assister, a porté un coup dur à la diplomatie algérienne. Le futur deuxième coup serait: si un élément des mercenaires mène une attaque contre le territoire marocain, comme dans les années 80 le Maroc demanderait à l'Algérie des explications, demande que l'Algérie extrade ce mercenaire pour le juger sinon l'Algérie serait l'instigateur de cette attaque.

Saturday, October 17, 2009

Sahara, Maroc, Algérie et les mercenaires terroristes polisariens


Même si le Maroc applique le principe: "la patrie est clémente et miséricordieux", Je vois pas comment les sahraouis du sahara occidental vont accepter que le nommé Mohamed Abdelaaziz Al marrakechi et sa bande les gouvernent même si ils acceptent la proposition Marocaine: "l'autonomie dans les provinces du sud".
Je ne vois pas non plus comment les séquestrés de Tindouf vont pardonner à l'Algérie ces 30 ans d'esclavages dans une zone militaire, politique, policière, terroriste et tous ce que vous pouvez imaginez d'anti-droit humain sauf une zone de Réfugiés??!!!!
Je ne vois pas non plus suivant quel droit international on peut classer un séparatiste; qui porte une combinaison militaire d'un pays voisin ennemi, qui s'entraîne dans les casernes de ce pays ennemi froid, qui mène des attaques contre ses compatriotes par les armes et les renseignements du pays qui l'accueille?; comme un réfugié???????????????????????????????????????????!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

  
      

Monday, October 12, 2009

Le "think tank américain", Inter-University Center for Legal Studies (IUCLS) resserre l'étau sur l'Algérie



Le conflit du sahara occidentale est Algéro-Marocains. De point de vue ce conflit l'Algérie est le Polisario, le Polisario est l'Algérie. Le Polisario, un instrument de guerre Algérien, un pont de détournement des aides humanitaires vers les poches des chefs de mercenaires, de certains responsables politiques et militaires Algériens et des bandes qui blanchissent ces aides humanitaires pour acheter des armes et les mettre entre les mains des terroristes pour tuer des innocents et même ceux qui donnent ces aides humanitaires. La face cachée de l'Algérie derrière ce conflit devient de plus en plus visible. Il n'est plus permet à l'Algérie de continuer à emprisonner des Marocains sur son Territoire à Tindouf sous le prétexte que ce sont des réfugiés et en même temps former militairement,  abriter, financer et encadrer des mercenaires et résidus de la guerre froide (USA-Ex-URSS) pour mener des attaques contre son voisin le Maroc. Il n'est plus permet non plus à ces fantoches de massacrer la population Marocaine dans les camps de Tindouf et les traiter comme des esclaves ni mener des attaques de Guérillas dans le territoire Marocain. Dorénavant tout attaque depuis l'Algérie dans le territoire marocain serait considéré comme une provocation de guerre et pousserait la population marocaine des provinces du sud à réclamer des dommages et intérêts pour les massacres commis  déjà par des mercenaires Algériens au sud du Maroc dans les années 70 et 80.        




Les populations séquestrées à Tindouf ne doivent plus souffrir des manquements de l'Algérie à ses engagements (Think Tank US)

Washington-12/10/09 - Les populations séquestrées dans les camps de Tindouf ne doivent plus souffrir des manquements de l'Algérie au droit international, estime le think tank américain, Inter-University Center for Legal Studies (IUCLS), appelant le Haut Commissariat aux Réfugiés (HCR) à établir une présence significative dans les camps afin d'y assurer la protection des droits des populations, y compris la liberté de mouvement.


"En vertu de ses engagements, l'Algérie doit collaborer avec le HCR afin de lever tous les obstacles qui se dressent devant la mise en place d'une approche basée sur les droits, y compris son opposition au recensement des populations des camps (...) et son soutien militaire au polisario, qui contribue aux restrictions de la liberté de mouvement", souligne ce think tank, dans un récent rapport.
Bien que l'Algérie soit signataire des conventions internationales relatives aux droits des réfugiés et participe aux mécanismes du HCR, ce pays manque à ses devoirs vis-à-vis des populations séquestrées sur son sol, déplore le rapport, qui regrette aussi que l'agence onusienne, "en charge de la protection des réfugiés (...) ait préféré se cantonner dans un rôle secondaire qui se limite à l'approvisionnement des camps en nourriture et en matériel".
"Etant donné les abus commis durant plus de trois décennies, il est impératif que cette situation change afin qu'une autre génération de ces populations ne soit pas dérobée de ses droits, de ses opportunités et de son avenir", insistent les auteurs de ce rapport, qui rappellent que "le HCR a le pouvoir de solliciter d'autres instances onusiennes, tel que le Conseil de sécurité, afin de faire avancer et de protéger les droits des réfugiés".
Le document constate, dans ce cadre, qu'au moment où le conseil de sécurité est activement engagé dans la recherche d'un règlement à la question du Sahara et "en dépit de l'existence de preuves attestant d'abus et de violations" des droits dans les camps de Tindouf, le HCR n'a pas cherché à solliciter l'assistance du Conseil de sécurité pour résoudre et remédier à ces abus.
En attendant, poursuit le rapport, les populations séquestrées sur le sol algérien "vivent dans des conditions physiques et morales déplorables", insistant sur la responsabilité d'Alger quant à l'obligation de protéger les droits des pensionnaires des camps de Tindouf.
Il est temps, insiste le rapport, pour le Haut commissariat aux réfugiés d'avoir un contrôle "plus efficace" de la situation dans les camps afin d'y "assurer, dans la transparence et la responsabilité, la distribution de l'aide" destinée aux populations, d'appeler à la mise en Âœuvre immédiate d'un recensement et de prévenir la militarisation des camps.
Le rapport appelle aussi le HCR à mettre en place, loin de toute intimidation, un programme de rapatriement volontaire des populations des camps pour qu'elles puissent regagner le Maroc, ou quitter les camps pour s'installer dans des pays tiers.
"Parquer des populations dans les camps (...) va contre les dispositions de base du droit relatif aux réfugiés et le mandat du HCR, et ne facilite pas leur intégration au niveau local", s'indignent les auteurs du rapport, pour qui "les camps, où les violations du droit international sont une réalité, ne peuvent être une solution durable".
Le rapport soutient, dans ce cadre, que le fait d'isoler des populations et "les assujettir à un contrôle arbitraire va à rebours des principes fondateurs du Haut commissariat aux réfugiés", mettant en exergue l'urgence pour les populations séquestrées dans les camps de Tindouf de pouvoir jouir de leur liberté conformément au droit international.
Crée en 1997, Inter-University Center for Legal Studies est un think tank qui apporte sa contribution académique à un large éventail de sujets concernant les droits de l'homme, les questions ethnique et raciale, ainsi que la tolérance religieuse, le terrorisme et les crimes de guerre.
L'objectif des travaux de l'IUCLS est de mettre l'accent sur les liens entre l'état de droit et plusieurs sujets d'actualité, et observer les menaces actuelles et possibles à la paix et à la sécurité auxquelles il apporte des réponses stratégiques.
L'IUCLS, qui est un consortium de plusieurs universités, est présent en tant que think tank dans plus de 35 pays de par le monde. source: map

Wednesday, October 7, 2009

Quand est ce que l'Algérie libère les victimes des camps de concentration sous les tentes de Tindouf:


Sahara : Une ONG britannique appelle à la libération des populations séquestrées à Tindouf
New York (Nations Unies), 07/10/09 - Le Président d'une ONG britannique, le Comité international pour les prisonniers de Tindouf, Lord Francis Newell, a appelé, mardi à New York, à la libération des populations séquestrées à Tindouf en Algérie.

Ces personnes sont "de véritables prisonniers dans des camps de concentration sous les tentes", a affirmé Lord Newell, relevant que "tant qu'elles ne seront pas libérées rien ne pourra être résolu".
"Quand elles seront libres, à ce moment là, elles pourront décider du choix de leur destination", a-t-il ajouté, estimant que le moment était venu pour l'ONU de mettre un terme aux violations des droits de l'homme à Tindouf.
Il a également appelé la Commission des droits de l'homme de l'ONU à agir pour préserver les droits des populations séquestrées dans le sud algérien, relevant que de nombreux enfants sont arrachés à leurs familles soi-disant pour étudier à l'étranger.
Ces enfants, a-t-il déploré, ne sont plus capables de communiquer avec leurs familles à leur retour du fait qu'ils ont perdu l'usage de leur langue maternelle, ce qui constitue un crime. Source: map

Friday, October 2, 2009

Maroc-Algérie-séquestrés-de-Tindouf: Vers La réinstallation dans des pays tiers

Maroc-Algérie-séquestrés: La solution de la réinstallation au coeur des travaux du Comité Exécutif du HCR à Genève
Genève- La thématique des solutions durables et particulièrement la réinstallation des populations réfugiées, est au cœur des travaux de la 60-ème session du Comité Exécutif du Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR), qui se déroulent actuellement à Genève.


Le débat a été lancé par le discours d'ouverture de M. Antonio Guterres, Haut Commissaire pour les Réfugiés, qui a qualifié les solutions durables de clé de voûte de la protection internationale, ajoutant que la diminution des possibilités de rapatriement librement consenti et d'intégration sur place, s'est traduite par une augmentation croissante de la demande de réinstallation dans des pays tiers.


Le rapport présenté à cette occasion par M. Guterres souligne que l'assistance alimentaire ou l'autosuffisance ne constituent pas des solutions durables aux situations de réfugiés prolongées. Ces solutions palliatives renforcent le statu quo des réfugiés de longue date et perpétuent leur statut d'assistés. Le rapport révèle, en outre, que le HCR a conduit avec succès plusieurs opérations de réinstallation, en 2008, en faveur de 65.800 réfugiés, sur plus de 120.000 demandes, notamment aux Etats-Unis, au Canada, en Australie, en Suède, en Norvège et en Nouvelle-Zélande. Les principaux bénéficiaires de ces réinstallations ont été des réfugiés originaires du Myanmar, du Burundi, de la Somalie, d'Irak, de la République démocratique du Congo et d'Afghanistan.


Dans ce contexte, plusieurs pays de réinstallation, dont le nombre s'est accru ces dernières années, ont apporté leur soutien à la stratégie du HCR pour les solutions durables. Ils ont tenu à préciser que leur engagement était motivé par des considérations éminemment humanitaires.


Ainsi, M. Eric Schwartz, Sous Secrétaire d'Etat américain pour la population, les réfugiés et les migrants, a annoncé, mercredi, la décision de son pays d'accorder au HCR une contribution de 400 millions de dollars pour la mise en Âœuvre des solutions durables, avec une insistance particulière sur la solution de réinstallation.


Pour leur part, les chefs des délégations du Canada, de l'Australie et les pays de l'Union Européenne, traditionnellement engagés dans des programmes de réinstallation dans leurs pays respectifs, ont exprimé un appui fort au plan d'action global du HCR pour les solutions durables, particulièrement en faveur des situations de réfugié prolongées.


En outre, plusieurs délégations ont déclaré devant le Comité Exécutif du HCR que la batterie de solutions durables prévue par le droit humanitaire international, n'a pas été optimalement exploitée. Aussi ont-ils appelé à davantage de solidarité et de partage des charges, afin d'assurer une meilleure protection des réfugiés se trouvant dans des situations prolongées.


C'est dans ce contexte favorable à la réinstallation des réfugiés dans des pays tiers qu'est intervenu l'appel du Maroc au HCR, mardi dernier, d'Âœuvrer à la réinstallation des populations séquestrées des camps de Tindouf, dans des pays tiers.


A cet égard, plusieurs délégués ont noté, dans les couloirs du Palais des Nations à Genève, la pertinence et l'opportunité de la démarche marocaine au profit des populations des camps de Tindouf, qui s'inscrit parfaitement dans le cadre du mandat du HCR. Ils ont également relevé son caractère ouvert et audacieux face au double Niet de l'Algérie au rapatriement librement consenti et à l'intégration sur place des populations de ces camps.


Le sentiment recueilli parmi les délégations participant à cette 60ème session du Comité Exécutif du HCR, est que la demande marocaine a le mérite d'apporter une lueur d'espoir et de liberté aux populations des camps de Tindouf, dans l'attente d'une solution politique définitive au différend régional autour de la question du Sahara marocain. (MAP)

Wednesday, September 30, 2009

Vers la réinstallations des séquestrés des camps de Tindouf dans des pays tiers

Les séquestrés de Tindouf devraient être installés dans des pays tiers. Des pays non concernés par ce conflit crée par le polisario Algérien. Premièrement pour permettre l'acheminement des aides humanitaires à ces séquestrés et éviter le détournement de ces aides vers d'autres but comme l'enrichissement illégal de certains  dirigeants algériens, l'achat des armes qui peuvent tomber entre les mains des mercenaires terroristes payés  à la tâche pour déstabiliser le Maroc et terroriser sa population et principalement la population des provinces du sud du Royaume. Durant la fin des années 70, les années 80 et avant le cesser le feu, les localités des provinces du sud étaient la cible des attaques de ces mercenaires aidés et financés par l'Algérie. Ces attaques  avaient tués beaucoup de marocains sudistes. L'Algérie doit demander pardon aux familles de ces victimes  et les rembourser. Le dernier événement survenu aux provinces du sud est l'infiltration d'une bande du polisario          dans la région de l'Oued Ennamouss dans la localité de Foum Zguid (province de Tata Région Guelmim Smara). Cette bande était armée avec des Kalachnikoves.

Le Maroc a appelé, lundi, le Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) à réinstaller, conformément à son mandat, les séquestrés des camps de Tindouf dans des pays tiers. Face au blocage humanitaire actuel, le Maroc voudrait demander au HCR de prendre les mesures nécessaires pour mettre en oeuvre cette solution et d'informer les populations des camps sur leur droit de pouvoir quitter ces camps et choisir librement de se réinstaller dans des pays tiers, a affirmé l'ambassadeur représentant permanent du Maroc auprès de l'Office des Nations unies à Genève, Omar Hilale, qui intervenait devant la 60ème session du Comité exécutif du HCR.

M. Hilale a ajouté que la décision du Maroc est motivée par plusieurs raisons, expliquant notamment que le Royaume rejette avec force les motivations politiques de l'Algérie pour son opposition au retour librement consenti de ces populations marocaines à leur mère-patrie, comme il n'acceptera jamais qu'elle les prive de leur droit légitime à la réinstallation. Cette décision est aussi motivée par le fait que le cas des camps de Tindouf fait partie des «situations de réfugiés prolongées» et en tant que tel, ils sont directement concernés par la mise en oeuvre des solutions durables préconisées par le HCR, conformément à son mandat, a poursuivi le diplomate marocain, ajoutant que les populations des camps vivent dans des conditions dramatiques insupportables.

L'Algérie a abdiqué sa responsabilité internationale dans les camps en faveur du polisario et oeuvré à leur militarisation, en violation du droit international humanitaire et le polisario vient de créer dans ces camps des tribunaux pour y juger ceux qui osent s'opposer à son autoritarisme stalinien de parti unique, ou tentent de fuir les camps, a encore dénoncé l'ambassadeur marocain, qui a évoqué la poursuite des violations des droits de l'homme des populations des camps au vu et au su et avec la complicité du pays hôte, l'Algérie.

Il a réaffirmé, à cet égard, l'impossibilité pour le Maroc de se résigner à la perpétuation de la séquestration de ses citoyens dans les camps de Tindouf pour servir l'agenda caché de l'Algérie. S'agissant du timing de la requête marocaine au HCR, M. Hilale a précisé qu'il a été dicté par plusieurs considérations, à savoir que le blocage, depuis 35 ans, par l'Algérie du mandat du HCR à l'égard des camps de Tindouf est intolérable moralement, inacceptable politiquement et illégal juridiquement. Le HCR ne devrait plus se limiter, dans les camps de Tindouf, à son seul mandat d'assistance alimentaire, mais devrait l'élargir, comme l'y obligent ses statuts, à la protection en général et la mise en oeuvre des solutions durables en particulier, car les populations ont désormais plus besoin de liberté et de dignité humaine que de farine et de lait en poudre, a-t-il encore expliqué.

Selon le diplomate marocain, ce timing se justifie en outre par l'inquiétante confirmation par l'Algérie, lors du récent périple du Haut Commissaire dans la région, de son veto au recensement des populations des camps, et partant de leur droit au rapatriement volontaire, ce qui est, a-t-il dénoncé, synonyme de leur condamnation à une peine collective d'exil à perpétuité. (MAP)


Monday, September 28, 2009

Si Le conflit du Sahara n'est pas Algéro-Marocain alors il est Maroco-Algérien


Malin l'Algérie est toujours en guerre froide avec le Maroc.  Cette guerre froide peut se transformer en une guerre militaire directe entre le Maroc et l'Algérie si cette dernière ne saisit pas la dernière opportunité: l'autonomie dans les provinces du sud du Royaume. Cette chance qui est la seule à sauver la face de l'Algérie vue les atrocités et agressions commises par des mercenaires abrités, financés et formés militairement à l'encontre de la population marocaine.
   
Le Maroc appelle le HCR à réinstaller les séquestrés de Tindouf dans des pays tiers
Genève - Le Maroc a appelé, lundi, le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) à réinstaller, conformément à son mandat, les séquestrés des camps de Tindouf dans des pays tiers.


Face au blocage humanitaire actuel, le Maroc voudrait demander au HCR de prendre les mesures nécessaires pour mettre en œuvre cette solution et d'informer les populations des camps sur leur droit de pouvoir quitter ces camps et choisir librement de se réinstaller dans des pays tiers, a affirmé l'ambassadeur représentant permanent du Maroc auprès de l'Office des Nations unies à Genève, M. Omar Hilale, qui intervenait devant la 60ème session du Comité exécutif du HCR.
M. Hilale a ajouté que la décision du Maroc est motivée par plusieurs raisons, expliquant notamment que le Royaume rejette avec force les motivations politiques de l'Algérie pour son opposition au retour librement consenti de ces populations marocaines à leur mère-patrie, comme il n'acceptera jamais qu'elle les prive de leur droit légitime à la réinstallation.

Cette décision est aussi motivée par le fait que le cas des camps de Tindouf fait partie des "situations de réfugiés prolongées" et en tant que tel, ils sont directement concernés par la mise en œuvre des solutions durables préconisées par le HCR, conformément à son mandat, a poursuivi le diplomate marocain, ajoutant que les populations des camps vivent dans des conditions dramatiques insupportables.
L'Algérie a abdiqué sa responsabilité internationale dans les camps en faveur du polisario et œuvré à leur militarisation, en violation du droit international humanitaire et le polisario vient de créer dans ces camps des tribunaux pour y juger ceux qui osent s'opposer à son autoritarisme stalinien de parti unique, ou tentent de fuir les camps, a encore dénoncé l'ambassadeur marocain, qui a évoqué la poursuite des violations des droits de l'homme des populations des camps au vu et au su et avec la complicité du pays hôte, l'Algérie.
Il a réaffirmé, à cet égard, l'impossibilité pour le Maroc de se résigner à la perpétuation de la séquestration de ses citoyens dans les camps de Tindouf pour servir l'agenda caché de l'Algérie.
S'agissant du timing de la requête marocaine au HCR, M. Hilale a précisé qu'il a été dicté par plusieurs considérations, à savoir que le blocage, depuis 35 ans, par l'Algérie du mandat du HCR à l'égard des camps de Tindouf est intolérable moralement, inacceptable politiquement et illégal juridiquement.
Le HCR ne devrait plus se limiter, dans les camps de Tindouf, à son seul mandat d'assistance alimentaire, mais devrait l'élargir, comme l'y obligent ses statuts, à la protection en général et la mise en œuvre des solutions durables en particulier, car les populations ont désormais plus besoin de liberté et de dignité humaine que de farine et de lait en poudre, a-t-il encore expliqué.
Selon le diplomate marocain, ce timing se justifie en outre par l'inquiétante confirmation par l'Algérie, lors du récent périple du Haut Commissaire dans la région, de son veto au recensement des populations des camps, et partant de leur droit au rapatriement volontaire, ce qui est, a-t-il dénoncé, synonyme de leur condamnation à une peine collective d'exil à perpétuité.
Il a aussi mis en avant la profonde conviction du Maroc, confortée par la conclusion du rapport du Haut commissaire à cette session, que l'assistance humanitaire, tout comme l'autosuffisance, ne constituent nullement des solutions durables au problème des réfugiés de longue durée, la préoccupation du Royaume face à l'impact traumatique et aux conséquences négatives de la prolongation de l'exil sur ces populations, particulièrement les plus vulnérables parmi elles, les enfants et les femmes, ainsi que la crainte que le sentiment de désespoir qui taraude les populations des camps, ne soit exploité par les réseaux terroristes qui sévissent dans la région sahélo-saharienne.

Pour toutes ces raisons, a affirmé M. Hilale, le Maroc ne peut rester les bras croisés face à ce drame et laisser ses citoyens séquestrés à Tindouf grandir et mourir dans les camps et ne saurait se résigner, non plus, à ce qu'ils n'aient que l'amer choix entre accepter d'endurer l'exil dans ces camps ou risquer leur vie en s'en évadant. La démarche marocaine, a-t-il dit, ambitionne uniquement de leur donner le droit de s'affranchir des affres de l'exil, en optant de vivre dans la liberté et la dignité et leur offrir l'espoir d'une vie meilleure sous d'autres cieux.
Il a fait observer que la demande du Maroc de mettre en œuvre la solution de réinstallation n'aura aucun impact sur le processus de règlement politique définitif, qui relève exclusivement du Conseil de sécurité, ajoutant que les futurs bénéficiaires de toute réinstallation garderont leur droit légitime, plein et entier, de pouvoir participer, le moment venu, à toute consultation sur la solution politique et définitive qui émergerait des négociations actuelles sous les auspices du Conseil de sécurité, sur la base de l'initiative marocaine pour la négociation d'un statut d'autonomie pour la région du Sahara, dans le cadre de la souveraineté et l'intégrité territoriale du Royaume du Maroc.
M. Hilale a, dans la perspective de la mise en oeuvre de cette solution, appelé le HCR à tout mettre en œuvre afin d'informer les populations des camps de Tindouf sur leur droit légitime de choisir librement de s'installer dans un pays tiers.
Il a aussi sollicité du HCR de sonder les pays susceptibles d'offrir des places de réinstallation aux personnes des camps qui désireraient les quitter et l'a invité à sensibiliser les agences onusiennes afin qu'elles puissent apporter leur contribution à la réalisation de cette opération éminemment humanitaire.

Sunday, September 27, 2009

Riposte fulgurante des militaires marocains face à des trafiquants polisariens venant de l'Algérie


Rabat - Une opération de trafic de drogue et de contrebande de cigarettes a été avortée, au niveau des frontières avec l'Algérie, grâce à l'intervention déterminante des éléments des Forces Armées Royales, indique lundi un communiqué du ministère de l'Intérieur.


es trafiquants, qui ont franchi clandestinement durant la nuit du 17 janvier, la ligne de défense à hauteur du lieu dit "Oued Ennamouss", à 50 km au sud de la localité de Foum Zguid, dans la province de Tata ont été détectés par les radars du 10ème bataillon de surveillance des frontières (B.S.F) des FAR, ajoute le communiqué. Le commandement des FAR a alors actionné une équipe d'intervention pour contrecarrer la tentative d'infiltration, opérée à bord de trois jeeps et une moto. 

Alertés par des complices, précise le ministère de l'Intérieur, les intrus ont tendu une embuscade à la patrouille dépêchée sur les lieux, en tirant avec des armes de guerre (Kalachnikov) plusieurs dizaines de cartouches, sans faire cependant de victimes. 

Devant la riposte fulgurante des militaires marocains, souligne la même source, les trafiquants se sont repliés vers l'Algérie. 

Les investigations entreprises suite à cette affaire ont conclu à l'implication de huit individus dont un Mauritanien. Quatre d'entre eux ont été arrêtés, alors que les quatre autres, qui ont pu être identifiés, sont activement recherchés, ajoute la même source. 

Les personnes arrêtées seront présentées devant le Tribunal militaire permanent des FAR dès clôture de la procédure, poursuit le ministère. 

L'enquête a également permis d'établir, sur la base de témoignages concordants, que les trafiquants qui ont franchi la frontière, sont membres du front polisario. Originaires de Rguibat-Chargue, ils sont installés à Tindouf où ils opèrent dans le cadre d'un réseau de trafic de drogue et de contrebande de cigarettes qui s'active entre Tindouf et le Maroc, indique le communiqué du ministère. 

Il y a lieu de rappeler que le Maroc ainsi que des ONG internationales et des instituts spécialisés n'ont cessé d'attirer l'attention de la communauté internationale sur l'implication des éléments du polisario dans des activités de trafic et de contrebande de toutes sortes, ainsi que sur les risques de dérive des mercenaires vers l'action terroriste dans la région, conclut le communiqué.

MAP

Saturday, September 19, 2009

Quand un marocain natif de Marrakech devient un Fantoche Séparatiste au service des dirigeants algériens

Mohammed El Khalil un sahraoui natif de Marrakech, se fait appeler Mohamed Abdelaziz par les dirigeants Algériens, Abdelaziz dispose de tous les éléments pour faire un leader révolutionnaire « correct » a placé à la tête du polisario après la mort de El Ouali Mustapha Sayed premier chef du polisario lors d'une divergence avec les conseillers de Kasdi Merbah.


Le polisario algérien ou tout court le polisario est actuellement un ensemble formé par des marocains nés au maroc, des mercenaires originaires de certains pays pro l'ex-URSS et payés par l'Algérie pour mener des incursions rapides dans le territoire sud marocains. Fidèle à la doctrine de la Guérilla Guévariste, le polisario n'épargne aucun village du sud marocain  pour enlevés des sahraouis marocains et les exécutés systématiquement de la même manière que les terroristes.  

Je partage avec ceux d'entre vous qui cherchent à connaître un peu l'histoire de cet instrument de guerre, l'extrait suivant d'un article du site: polisario-confidentiel.com

Chronique d'une guérilla aux portes du Désert
 Ecrit par Aboubakr Ali  

Suite à la marche verte, le Maroc installe très rapidement son administration au sein du Sahara, et commence par sécuriser les villes. C’est alors que le Front Polisario, ragaillardi par les 3000 hommes débauchés de l’armée espagnole et par la mise en scène de sa déclaration d’indépendance, commence à mettre en place une technique de guérilla typique au désert, avec des incursions rapides, sur des véhicules légers.
Le Maroc, dont l’armée n’est pas habituée à évoluer  dans ces conditions, connaît toute la palette de difficultés auxquelles sont confrontées les armées régulières, et se retrouve obligé de repenser l’ensemble de sa stratégie de contre-offensive. Le Front Polisario, fidèle à la doctrine de la Guérilla Guévariste, ne fait pas de quartiers, et les sahraouis enlevés sont systématiquement exécutés. 
Procédant à coup de rafles éclairs, le Front Polisario tente de couper l’armée marocaine de ses points de ravitaillement.
C’est à ce moment précis que les divergences entre El Ouali Mustapha Sayed et les conseillers de Kasdi Merbah commencent à se faire sentir. En effet, El Ouali commence à trouver pesant de devoir reporter aux cadres de la sécurité militaire algérienne, et commence à se sentir à l’étroit avec les conseillers militaires cubains, qui lui demandent de pousser son avantage en Mauritanie, quitte à perdre plus d’hommes.
L’idée romantique que se faisait El Ouali de la révolution et du communisme commence peu à peu à s’estomper, et il comprend qu’il s’est mis dans un engrenage infernal, d’où il sera difficile de sortir. Soucieux de la vie de ses compagnons d’armes, El Ouali est de plus en plus timoré, et alterne moments d’euphorie et de dépression. A l’un des conseillers de Merbah, il lance un jour que Tindouf fait partie du périmètre de l’état Sahraoui qu’il envisage.
L’information, qui signe quasiment son arrêt de mort, est immédiatement transmise à Alger.
Quelques jours plus tard, un Tupolev Tu-154 de dernière génération atterrit à Alger, de nuit. Pour l’accueillir, ni fanfares, ni trompettes. Car le passager unique de cet avion de ligne est Youri Andropov, venu en Algérie pour faire le point sur la situation au Sahara, avant de remonter vers Chypre.
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Mohamed Abdelaziz
En substance, Andropov conseille à Merbah d’organiser la liquidation d’El Ouali, qui, décidemment, commence à devenir gênant. Il demande alors à l’Algérien qui serait susceptible de prendre sa succession. Merbah, qui s’attend à cette question, a déjà en tête un sahraoui natif de Marrakech, Mohammed El Khalili, qui se fait alors appeler Mohamed Abdelaziz. Selon les Algériens, Abdelaziz dispose de tous les éléments pour faire un futur leader révolutionnaire « correct ». Il s’entend bien avec les cadres de la Sécurité militaires, et paraissait particulièrement attentif lors des séances interminables d’endoctrinement des conseiller militaires cubains. 
El Ouali, finalement, décide de plier aux exigences des conseillers de la sécurité militaire Algérienne, et planifie, à reculons, une attaque sur Nouakchott. Il mourra dans des circonstances non élucidées le 9 Juin 1976, au cours de cette même attaque. Afin de ne pas montrer la préméditation, Andropov conseille à Merbah de nommer un dirigeant temporaire en la personne de Mahfoud Ali Beiba. Ce dernier occupera la tête du front pendant un mois, avant que Mohamed Abdelaziz ne prenne sa place, jusqu’à aujourd’hui.
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Lieutenant Colonel Ghoujdami
Pendant ce temps, les tacticiens marocains, qui ont observé avec attention les techniques utilisées par le Polisario, font appel au Groupe Permanent d’Evaluation de Situations Français, pour les assister dans leur élaboration d’une nouvelle riposte dans la guerre des sables.
Des hommes exceptionnels vont alors émerger au sein de l’armée marocaine, des chefs de guerre pour qui la défense de la Patrie coule dans les veines. L’un d’entre eux, Mohammed Ghoujdami, connaîtra même une consécration internationale grâce à l’attaque la plus audacieuse de l’histoire militaire, où une défaite cuisante sera administrée au Front Polisario à Bir Anzarane. Deux pleines pages lui seront consacrées dans « Paris Match » du 21 Septembre 1979.